N'ayant jamais eu sa numérotation SNCF que sur le papier est garée à Réding après sa radiation. Sur la caisse à eau figure sa dernière affectation après la fin de la guerre ainsi que son dépôt : Zweibruecken. Les années cinquante sont terribles pour les séries typiquement EL et AL, car seules quatre séries seront encore en service au début des années 1960, à savoir les 230F, 232TC, 040D et 242TA. Notons que les ultimes G12 et G12.1, regroupées à Thionville, épuisent leurs parcours de levage ou leurs timbres aux manœuvres et dessertes autour des grands centres ; les ateliers prennent la liberté de décrocher le 'Grossvater' (grand père), surnom donné au cylindre médian, en déposant la bielle motrice interne et en neutralisant les tiroirs. La fin de carrière des 231B ex S14, remises en titulaire pour tenter de juguler leur coût d'entretien prohibitif, est émaillée de défaillances : le dépôt de Hausbergen garde par exemple une R en réserve - les 470 et 471 -, pour assurer leur remplacement au pied levé, avec parfois un élève mécanicien qui s'octroie alors une belle course sur Mulhouse en réalisant l'horaire ou en ayant tout au plus 2 à 3 minutes de retard. Chose identique en Lorraine avec des 150X qui, avec leurs démarrages fulgurants, font l'heure sur des marches 'Pacifics' à 80 km/h.